Edouard Deloignon est un auteur, comédien et humoriste ‘standuper’ français, il sera présent à Bruxelles le 6 mars pour présenter « Grandira plus tard ».

Pouvez-vous vous présenter aux lecteurs de Médias Tout Azimut ?
Écoutez, Édouard Deloignon, humoriste, et voilà !
Quel fut votre parcours ?
Le parcours est simple. J’ai fait pas mal de choses.
J’ai fait une fac de sport après le bac. Ensuite, je suis parti au Club Med pour y travailler un peu durant les étés.Et, il y a 10 ans, je suis parti au Cours Florent, je l’ai fait trois ans.
Vers 2018-2019, j’ai commencé à monter dans les comédies clubs. J’enseigne tous les jours.
L’humour a-t-il toujours été là ?
Toujours, toujours.
Vous avez fait de l’impro et avez terminé en demi-finale d’un concours. Pouvez-vous nous en parler?
Oui, au Cours Florent, il y a un concours tous les ans d’improvisation théâtrale avec plusieurs équipes et tout. En fait, c’était une formidable expérience.
C’est la première fois que je faisais vraiment de l’impro devant des gens, devant un public. Ça a été un déclic pour moi.
Et que diriez-vous du Jamel Comédie Club?
Ecoutez, j’étais dans la troupe pendant deux ans. C’était une belle expérience. Voilà, tout simplement une belle expérience dans une salle mythique et une belle expérience pour progresser.

La radio, est-elle encore d’actualité dans votre vie ?
Alors, non, mais peut-être un jour, pourquoi pas, car j’adore ce média.
J’ai créé un podcast aussi pour Youtube pour me rapprocher un peu aussi du plaisir de la radio qui s’appelle Bordel Organisé. C’est assez cool. Peut-être que cela reprendra quand j’aurai le temps.
Justement, pouvez-vous nous parler de vos vidéos Youtube?
J’ai fait des parodies musicales aussi et c’était super.
J’étais encore dans une optique de créer des choses, faire rire les gens. Donc, j’ai créé cette parodie musicale pour la première fois et puis ça s’est fait très rapidement. On a écrit en une heure et puis on a tourné le lendemain le clip et ça n’a pas marché.
Pouvez-vous lever un coin du voile sur votre spectacle « Grandira plus tard » ?
C’est une heure et demie de rire, de bienveillance, de kiff. Le public oublie ses problèmes de la journée.
On passe un super moment. Ça, c’est les retours que j’en ai. Il y a de l’émotion aussi.
Ce que je raconte c’est ma vie et les petits problèmes parfois que j’ai pu rencontrer, mais toujours avec rire et bienveillance.
Connaissez-vous le public belge ?
Oui, je suis venu jouer plusieurs fois en Belgique. Je suis même venu jouer dans des Comedy Club en Belgique. J’ai joué mon spectacle en Belgique. J’ai fait des premières parties en Belgique. Et c’est toujours un public chaleureux, accueillant et toujours à fond, à fond, à fond.
Le basket, a-t-il encore une place pour vous ?
J’aimerais, mais je n’ai pas le temps. Mais j’en regarde maintenant, c’est tout.
Pour terminer, que pourrions-nous vous souhaiter ?
Que le 6 mars à Bruxelles, je sois complet. Oui, ça y est. Voilà, c’est juste ça. Et après, sinon, la santé.
Propos recueillis par Stéphanie
Photos: Lisa Lesourd